La narration autour de la répartition de l'impôt entre le travail et le capital est en train de changer. Nous sommes sur un point de bascule.
La taxation du capital va augmenter dans les prochaines années. C'est inévitable. Il faut s'y préparer. Aujourd'hui, le dogme libéral explique qu'il faut limiter au maximum la taxation du capital financier, car il est mobile et qu'il pourrait fuir le pays qui le taxerait excessivement.
Dans le même temps, les populations demandent toujours plus de protection sociale. La demande d'État providence explose...
La suite de cet article est réservée aux abonnés :