Quelles stratégies pour une meilleure protection du conjoint ?

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Pendant une heure, je vous présente ma vision, ma stratégie et mes conseils pour mieux gérer votre patrimoine. Des conseils concrets et sans langue de bois et un conseil en gestion de patrimoine VRAIMENT indépendant.

Vous le savez, sur leblogpatrimoine, notre promesse est simple : « Un conseil en gestion de patrimoine qui n’a rien à vendre à part ses conseils ».

Travailler sur les stratégies pour améliorer la protection du conjoint survivant (inscription).

Se construire un patrimoine, c’est souvent une histoire de couple et de complémentarité. La réussite de l’un trouve fréquemment sa source dans le soutien indéfectible de l’autre comme nous vous l’avons détaillé dans cet article « De la nécessité de mieux protéger le conjoint en cas de décès prématuré« .

Le schéma paraît caricatural, mais il est systématiquement le même : Pour Monsieur, la réussite sociale et professionnelle ; pour Madame, la gestion du quotidien, le soutien indéfectible, les conseils sur l’oreiller, l’écoute, l’accompagnement, la charge mentale de la gestion de la famille… tout ce dévouement qui permet à Monsieur de réussir.

Au final, le patrimoine est le fruit de cette complémentarité du couple. Un patrimoine construit euros après euros, un patrimoine fruit de cette vie de choix et de décision.

Arrivé au seuil de sa vie, il apparaît alors naturel de chercher à garantir au conjoint survivant, souvent madame, de pouvoir disposer librement du fruit de ce travail conjugal. Au décès du premier, le conjoint peut avoir le sentiment désagréable de se retrouver en situation de « dépendance » vis-à-vis des enfants, devenus nus propriétaires du patrimoine du défunt.

C’est très difficile de devoir partager ce patrimoine avec les héritiers, même si ce sont vos enfants. Un sentiment de dépossession parfois difficile à vivre.

Je le constate très régulièrement dans mes consultations patrimoniales, les épouses, dont le revenu est bien souvent beaucoup plus faible, ont peur de perdre leur patrimoine conjugal, fruit d’une vie de travail au décès de leur défunt mari.

D’un côté, la gestion des finances ne les intéresse pas beaucoup, mais lorsque l’on approfondit, d’un autre côté, elles craignent de se retrouver seule et de manquer d’argent. La perspective de devenir dépendante de leurs enfants n’est pas une perspective qui les rassure. Elles ne veulent de cette perte d’autonomie.

Bien évidemment, elles aiment leurs enfants. Une maman reste une maman, mais elles savent aussi qu’elles ne pourront pas leur refuser grand-chose et qu’elles auront tendance à s’oublier pour le bonheur supérieur de leurs petits (qui restent leur petit, même à 60 ans)

Justifier ou pas, cette peur de la dépendance vis-à-vis des enfants est puissante. Un besoin pas toujours rationnel, mais qu’il convient pourtant de combler pour retrouver la sérénité.

Considérant que le patrimoine du couple est le fruit de leur travail, de leur sacrifice, des héritages qu’ils n’auront pas dépensés, des conséquences de leurs choix de vie, il semble normal de laisser le conjoint survivant libre d’en disposer sans avoir de compte à rendre

Une protection maximale permettant aux époux de jouir du fruit de leur vie conjugale jusqu’au bout. Une protection qui a un coût fiscal, mais une protection source de sérénité.

Bien évidement, tout est une question d’équilibre. La stratégie patrimoniale devra alors chercher à maximiser le niveau de protection du conjoint tout en assurant une transmission fiscalement avantageuse aux enfants.

Bref, nous allons travailler sur les stratégies patrimoniales qui permettront au conjoint survivant, souvent Madame, de conserver le pouvoir au décès du premier des époux.

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