par Ad van Tiggelen, stratégiste Senior chez ING IM   Au deuxième semestre de 2009, de nombreux observateurs du marché, y compris nous-mêmes, pensaient que 2010 allait être une année faste pour les fusions & acquisitions. Les bilans des entreprises étaient en effet solides, le coût d’emprunt était faible et il existait un bon nombre de candidats à la reprise générant de confortables liquidités disponibles. La réalité a toutefois été tout autre, du moins au premier semestre de 2010. En dollars, les activités mondiales de...