Nous sommes dans un jeu de dupes.

D'un côté, nous entendons à longueur de journée que les entreprises manquent de capitaux et de financements et que les épargnants doivent arbitrer une partie de leur épargne vers ce financement en latence.
D'un autre côté, les épargnants entendent tous les discours alarmistes autour des menaces qui planent au dessus de leur épargne et de leur patrimoine et se sentent dans l'obligation d'arbitrer une part de leur épargne vers les unités de compte des contrats d'assurance vie ou en achetant des actions sur l...