Un été euphorique sans volume et sans évolutions fondamentales significatives.
Les étés passent et un peu comme la météo, n’ont pas la même consistance. En 2012, il fallait oser croire à la hausse du marché, malgré un manque de visibilité assez évident que ce soit sur le plan de la macro ou de la micro-économie. Les évolutions sont d’autant plus difficiles à analyser que les volumes ont été très faibles cet été, facteur propice à une évolution erratique des marchés financiers. On retiendra surtout que les investisseurs ont acheté les promesses ...