L'analyse trimestrielle du marché de l'immobilier réalisée par le service des études économiques du crédit agricole révèle que les prix de l'immobilier "sont devenus très surévalués, de 25 % environ en France et probablement au moins 35 % à Paris" et que la conjonction de prix très élevés et de la remontée des taux de crédit pourrait avoir des effets marqués sur les prix en 2011 et surtout en 2012 : effet d’éviction d’une partie des acheteurs, acquéreurs plus attentistes et plus exigeants sur les niveaux de prix.

Ainsi, dans le prolongement d...