par Albert Edwards, Société GénéraleLes actions atteindront des niveaux encore plus bas que ceux enregistrés en mars 2009 et les meilleures conditions seront alors réunies pour acheter et se couvrir contre la Grande Inflation qui se profile à l'horizon." "Alors que les rendements des obligations japonaises reculent à nouveau en dessous de 1% et que ceux des obligations américaines à 10 ans se consolident en deçà des 3%, il est clair que les investisseurs obligataires, au moins, partagent notre théorie de l'Age de glace", juge Alber...
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