Les premières analyses économiques qui mettaient en avant l’inévitable pragmatisme économique du président d'un des plus grands états du monde, doivent elles être mises de côté ? Faut il intégrer un nouveau risque politique dans la valorisation actuelle des marchés actions, mais aussi des taux d'intérêt ?
Les entreprises, leur modèle économique et donc leur capacité à générer des bénéfices futurs ne seront ils pas affectés par ces décisions unilatérale, violentes et incontrôlables ? Les taux d'intérêt peuvent il rester si faibles malgré le risque politique avéré ?
Nous avons parfois le sentiment qu'un mouvement de destruction est lancé... Si ce mouvement devait être confirmé, les marchés devront quantifier ce risque, exiger une nouvelle prime de risque qui pourrait conduire à une baisse des valorisations des marchés actions et probablement une hausse des taux d'intérêt.
Au delà de l'économie, le risque politique doit maintenant être intégré et quantifié. Et oui, finalement, si les banq...
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