D’abord parce que « les hommes n’acceptent le changement que dans la nécessité et ne voient la nécessité que dans la crise ».
Jean Monnet avait raison : la crise n’a jamais été aussi grave et l’Europe se met (discrètement) au travail, la solution fédéraliste gagnant du terrain dans les capitales européennes.
D’ailleurs José Manuel Baroso – Président de la Commission Européenne – détermine clairement l’enjeu : « intégration ou fragmentation », tandis que Wolfgang Schäubel – ministre des finances allemand – évoque l’intérêt des emprunts européen...
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