Investir à long terme dans la pierre papier est séduisant à plus d'un titre : Mutualisation des investissements, diversification, absence de contraintes de gestion, ... L'ensemble de ces arguments expliquent pour partie le succès fou de l'investissement en SCPI.
Un succès probablement excessif au regard de la qualité fondamentale des sous-jacent et surtout du prix des parts. Dans un contexte de remontée forte des taux d'intérêt couplée à une obsolescence accélérée des usages (bureaux, EHPAD mais également commerce), il faut être fou pour payer les parts de SCPI au même prix (et même parfois plus cher) qu'avant le Covid-19.
C'est pourtant bien la situation actuelle. Une situation qui est d'autant plus étonnante que les petites sœurs des SCPI que sont les foncières cotées (SIIC) affichent une performance très négative depuis le début de l'année (cf. "Immobilier : Plus attrayantes que les SCPI, découvrez les SIIC !")
A titre illustratif, l'ETF Lyxor PEA Immobilier Europe (FTSE...
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