Comme vous le savez, leblogpatrimoine a engagé sa mue depuis environ 6 mois ; Depuis 2009, nous nous étions lancé dans un modèle économique hybride avec un chiffre d’affaire partagé entre la publicité (affichage de bannière pub Google et leads) et l’activité historique de conseil en gestion de patrimoine indépendant.
Depuis toujours, nous avons fait le pari du conseil vraiment indépendant, c’est-à-dire le conseil en gestion de patrimoine UNIQUEMENT rémunéré par le tarif de la consultation patrimoniale. Nous n’avons rien à vendre à part notre conseil ; cela se traduit par deux offres : L’assistance et le bilan patrimonial (consultation patrimoniale ponctuelle facturée 119€TTC) et plus récemment l’accompagnement patrimonial (Forfait de conseils utilisable pendant 1 an ou plus).
Depuis 6 mois, nous avons totalement supprimé la publicité afin d’essayer de vous apporter une plus grande valeur ajoutée ; La publicité affichée n’était pas qualitative et pouvait parfois vous inciter à prendre des décisions patrimoniales insensées.
Depuis 6 mois, l’objectif est donc d’internaliser des offres et services que nous sélectionnerons avec rigueur pour répondre aux divers besoins de vous, mes chers lecteurs, qui cherchez à améliorer la gestion de votre patrimoine.
Il y a 15 jours, nous avons officialisé le lancement de la lettre de l’investisseur de long terme. Un abonnement construit avec hiboo.expert pour vous aider à investir en bourse et choisir les entreprises dans lesquelles investir à long terme ==> Découvrir la lettre de l’investisseur de long terme.
Aujourd’hui, nous officialisons le lancement de l’activité de courtage en crédit immobilier patrimonial.
Le courtage en crédit immobilier « Patrimonial » arrive sur Leblogpatrimoine.com
Aujourd’hui, Je suis fier de vous annoncer une nouvelle offre de courtage en crédit immobilier « Patrimonial ».
Depuis de quelques mois, je travaille avec Pierre Marchand, courtier en crédit immobilier, et Geoffroy Roques, courtier en assurance emprunteur, afin de construire une offre complète pour vous accompagner dans la réussite de votre projet de financement immobilier.
Dans un certain nombre de situations, la complémentarité (tout en restant totalement indépendant) est forte entre le conseil en gestion de patrimoine et le courtier en crédit immobilier :
- Indépendance : le conseil en gestion de patrimoine et le courtage en crédit immobilier sont totalement déconnectés ; Ce sont deux services hermétiques qui fonctionnent séparément ;
- Complémentarité : Selon les besoins, vous pouvez solliciter une consultation patrimoniale via (nos offres d’assistance et bilan patrimonial) dont le montant sera remboursé si vous choisissez de vous financer par l’intermédiaire de notre courtier. Simple et efficace.
Pour le lancement de cette nouvelle offre, nous avons innové en vous proposant un service de comparateur particulièrement efficace :
En 2 minutes, après avoir renseigné votre projet immobilier, le comparateur fait l’analyse financière de votre dossier, vous délivre un accord de principe immédiatement et vous propose le taux auquel vous pourriez obtenir votre crédit immobilier.
Comme vous le savez comme je l’ai écrit dans deux articles « Le courtier en crédit immobilier n’est pas toujours synonyme de meilleur taux » et « Crédit immobilier : Avez-vous besoin d’un courtier en crédit immobilier ? Quelle est sa valeur ajoutée ? » qui n’ont pas été bien accueillis par la profession du courtage en crédit immobilier, l’activité de courtage en crédit immobilier est une activité en pleine mutation.
Cette offre de courtage en crédit immobilier s’inscrit clairement dans une volonté d’apporter une forte valeur ajoutée.
Il ne s’agit pas uniquement de faire de la comparaison de taux de crédit immobilier et de se contenter de vendre du taux ; Il s’agit de vous apporter un véritable service de courtage en crédit immobilier patrimonial.
Pour en profiter, c’est très simple :
- -1- Vous demandez un rendez-vous téléphonique à Pierre Marchand pour lui présenter votre besoin de crédit immobilier via cette page de mise en relation ==> Contacter le service de courtage en crédit immobilier.
- -2- Si vous le souhaitez, vous réservez un rendez-vous d’assistance et bilan patrimonial et le livre « Investir dans l’immobilier« pour aller au-delà du courtage de crédit immobilier et profiter de votre projet immobilier pour effectuer une analyse globale de votre patrimoine ;
- -3- Vous avancez dans votre projet immobilier et nous vous accompagnons ! Si votre projet de crédit immobilier est finalisé par l’intermédiaire de notre service de courtage en crédit immobilier, nous vous remboursons l’achat du livre « Investir dans l’immobilier » et/ou de la consultation d’assistance et bilan patrimonial sur simple demande.
Ps : Ne vous inquiétez pas, on vous rembourse aussi si vous avez acheté le livre ou souscrit à l’offre d’assistance et bilan patrimonial avant le lancement de ce nouveau service 😉
C’est simple et efficace !
Si les conseils de vos partenaires sont à la hauteur de vos conseils en patrimoine, cela va être intéressant et je compte bien recourir à vos prestations.
Comme quoi, il ne faut jamais dire « fontaine je ne boirai pas de ton eau » ……
bonjour,
un credit pour des parts de SCPI ou un crédit via une societe, c’est aussi dans la prestation ??
Oui, mais uniquement pour les sociétés dites patrimoniales
Bon courage pour trouver des banques qui vont se voir présenter une assurance externe d’emblée
Etes-vous rémunéré pour la mise en relation ou la souscription de crédit ou d’assurance de crédit ? (ce serait en opposition avec votre principe d’indépendance mais ce serait bien de le préciser)
Merci pour ce commentaire et cette question que j’attendais.
Oui, je suis rémunéré si vous souscrivez votre crédit immobilier par l’intermédiaire de Pierre Marchand et de son équipe.
S’agit il d’une perte d’indépendance. Je ne crois et du moins, j’ai tout fait pour que ce ne le soit :
1 – Le service courtage et le service conseil sont réalisés par deux équipes ; Chacun son métier. Je ne suis pas courtier ; Je n’interviens donc pas dans l’activité de courtage ;
2 – Néanmoins, si vous en ressentez le besoin, vous pouvez solliciter mon conseil via la souscription d’une assistance ou bilan patrimonial. Dans cette hypothèse, je réalise le conseil patrimonial en total indépendance comme je le réalise tous les jours ;
3- Si au terme de ce conseil, vous avez l’envie ou le besoin de souscrire un crédit immobilier par l’intermédiaire de Pierre Marchand, alors la consultation vous sera remboursée.
Qu’en pensez vous ?
De mon côté, cette stratégie me semble permettre une parfaite indépendance pour chacun. Tant pour le courtier qui doit faire son métier de courtier indépendamment ; Tant pour le conseil en gestion de patrimoine dont le conseil ne doit pas être au service d’une activité commerciale.
Bonjour Guillaume,
Je trouve certains commentaires très désagréables voir irrespectueux.
Cela fait maintenant des années (comme beaucoup de tes lecteurs) que je me nourris de ton contenu gratuit. J’ai appris énormément grâce à ton travail remarquable. Il est tout à fait normal que tu te rémunères d’une façon ou d’une autre en fin de chaine. Tu n’as jamais vendu du rêve, tu es toujours resté transparent et c’est pour ça que j’apprécie ton blog. Tu peux être fier de la communauté et de l’espace d’échange que tu as su créer.
Merci pour cette offre qui à l’air juste, cohérente et intéressante.
A très vite !
Bonjour Guillaume,
Il n’y a aucun problème pour moi !
Merci pour ton blog, toutes les connaissances que tu nous apporte et l’échange que tu permets avec autant d’investisseurs éclairés.
La réglementation vous oblige à communiquer sur votre rémunération mais vraisemblablement vous êtes gêné pour donner votre taux de commission. Dommage pour quelqu’un qui prône la transparence,
Étant dans le métier, afin d’informer vos lecteur le taux pratiqué est en général de 1% du montant emprunté
Gêné de quoi ? Il suffit de demander avec politesse. Lorsque le dossier est finalisé, le courtier en crédit immobilier me reverse 50% de la commission bancaire. C’est un classique et il n’y a vraiment rien à cacher.
Auriez vous d’autres remarques constructives ?
Au plaisir,
Guillaume
50% de combien ?
super article !
Bonjour
C’est un modèle qui est effectivement utilisé par la profession, rien de neuf ni à redire à ce propos, mais j’y vois une contradiction avec la notion d’indépendance habituellement défendue sur ce blog.
Si la règlementation n’a pas statué pour l’ensemble des activités que peut exercer un CGP, elle l’a fait pour l’activité spécifique du conseil en investissement financier, ce dans le cadre de MIF2.
Cette directive a le mérite de définir les différences entre le statut de conseil « indépendant » et celui de conseil « non-indépendant » en matière de produits et services d’investissement financier et il est généralement considéré comme très probable qu’en cas d’élargissement aux autres activités de conseil exercées par les CGP ladite réglementation serait largement transposée.
S’agissant des modes de rémunérations, elle distingue précisément ce qui est autorisé selon le statut.
Les règles sont les suivantes :
– Lorsque le CGP relève du statut de conseil « non-indépendant » : les rémunérations émanant de tiers, fournisseurs, partenaires etc… sont permises sous certaines conditions. Toutefois, le client doit en être informé de façon totalement précise et transparente dès le début de la relation et avant toute intervention/intermédiation ;
– Lorsque le CGP relève du statut de conseil « indépendant » : tout avantage, monétaire ou non monétaire, provenant d’un tiers est proscrit. En cas de perception d’un tel avantage, le conseiller a l’obligation de le reverser au client dans sa totalité. Ainsi, seule la perception des honoraires facturés au client lui est permise.
Précision : il n’est pas autorisé à un même conseiller d’agir à certaines occasions en indépendant et à d’autres en non-indépendant, il doit opter pour l’un ou l’autre des statuts exclusivement.
Si l’on transpose ces règles au modèle proposé :
– Une prestation est réalisée en tant que conseil « indépendant » et des honoraires sont facturés au client ;
– Le conseil « indépendant » met ce même client en relation avec un tiers partenaire ;
– Le tiers-partenaire reverse au conseil une rémunération s’il fait affaire avec le client;
– Le conseil « indépendant » rembourse (sur demande) au client les honoraires initialement perçus.
Ainsi, en transposant l’esprit de la directive, en tant que conseiller indépendant, ce ne sont pas les honoraires initialement perçus qui devraient être remboursés au client mais la rémunération que le tiers partenaire a rétrocédé au conseiller « indépendant » (de surcroît sans que le client n’ait à en faire la demande).
Conserver la rémunération reversée par le tiers partenaire c’est adopter le modèle qui n’est autorisé qu’aux conseillers ayant opté pour le statut de « non indépendant».
En dehors d’une référence à tout texte qui pourrait être transposé, ce n’est que bon sens: dans ce cas de figure, le conseil recommande un professionnel avec lequel il a un accord plutôt qu’un autre avec lequel il n’en a pas parce que cela revêt pour lui un intérêt économique. Dès lors qu’il y a un intérêt économique, la notion d’indépendance est naturellement écornée.
Je suis au fait que vous ne relevez d’aucun statut réglementé mais les arguments que vous avancez et que j’ai pu lire à l’occasion sur votre blog pour défendre le statut que vous qualifiez de « vrai indépendant » sont très proches de l’esprit et des principes édictés par la directive à laquelle je me réfère. Cela m’apparaît en contradiction avec votre nouveau modèle économique.
Je remarque également que les pages qui présentent vos offres de services en matière d’assistance et suivi patrimonial mentionnent toujours :
– « Je suis conseiller en gestion de patrimoine UNIQUEMENT rémunéré par les honoraires que vous me verserez »
– « Du conseil et uniquement du conseil est la seule solution pour vous accompagner de manière objective et désintéressée »
– « Je suis Conseil en gestion de patrimoine indépendant et je n’ai rien à vendre à part mon conseil… »
Dans la mesure où votre modèle implique que vous présentiez potentiellement vos clients à des tiers partenaires qui vous rétribueront en échange si cela leur permet de réaliser une affaire, il est dorénavant difficile de considérer ces affirmations comme étant transparentes, claires et non trompeuses en l’état.
Bonjour,
En réalité, le site recouvre deux réalités.
Leblogpatrimoine est un média. Avec plus de 1 000 000 de visiteurs uniques par mois, leblogpatrimoine.com est un média incontournable. Auparavant, cette audience était rémunéré par la publicité google. Peu qualitative.
La grande majorité de l’activité de Pierre Marchand et de son équipe relève de cette visibilité médiatique. La grande majorité des clients de l’activité de courtage sont des lecteurs qui auront un besoin de courtage et qui solliciteront donc le courtier. Je n’interviens pas du tout dans cette relation. Il n’y a aucun conseil de ma part.
Une toute petite minorité de mes clients de l’activité « conseil » pourraient avoir besoin d’un courtier. Ce devrait représenter une toute petite part de l’activité de courtage. C’est la raison pour laquelle, j’ai choisit de rembourser la prestation « conseil » ?
Comment faire ? J’ai l’impression d’un modèle équilibré qui remet pas en cause la qualité du conseil. Qu’en pensez vous ? Quelle autre alternative pour rémunérer l’audience du site ? remettre de la pub ?
Au plaisir de cet échange intéressant.
Votre blog constitue également la vitrine commerciale vous permettant de recruter de potentiels clients pour vos services de conseil et d’assistance patrimoniale.
Je comprends que la réalité économique, compte-tenu des tarifs que vous proposez, puisse impliquer la recherche d’un complément de rémunération, mais relève que le modèle choisi est celui des conseillers non indépendants alors que vous communiquez sur une prestation de conseil strictement indépendant.
Qu’aucun, un seul ou une centaine des clients finalisent une transaction avec un tiers-partenaire n’a pas d’importance au sens du texte européen: dans la mesure où le choix du statut est forcément antérieur à la relation, c’est le simple fait de pouvoir être rétribué par un tiers qui marque la différence entre le conseil indépendant et le conseil non indépendant.
Ce modèle économique vers lequel vous tendez dorénavant est d’ailleurs très proche de celui qu’ont choisi certains CGP ayant opté pour le statut de CIF non-indépendant qui fournissent d’abord une prestation de strict conseil patrimonial rémunérée par des honoraires et indiquent au client que lesdits honoraires lui seront partiellement ou totalement remboursés en cas d’intermédiation de produits ou services opérée par lui sachant que dans ce cas ils recevront une rémunération du tiers partenaire dont le montant sera clairement et préalablement indiqué au client.
(Ce procédé est strictement prohibé dans le cadre de l’intervention d’un CGP CIF indépendant)
Les CGP ayant opté pour le statut d’indépendant sont minoritaires pour la raison que le fait de n’être exclusivement rémunéré que par des honoraires nécessite, pour que l’activité soit économiquement viable, des facturations de montants importants.
En France, les CGP ont eu, pour l’instant, le choix du statut mais au Royaume Uni cela n’a pas été le cas.
Que s’est-il passé ? Les échos que j’ai pu en avoir indiquent que l’espoir du particulier d’obtenir le même service à moindre frais s’est vite évanoui : le nombre de conseillers libéraux s’est effondré, un petit nombre a subsisté mais seulement pour la clientèle haut de gamme à même de rétribuer leurs conseillers indépendants par des honoraires élevés. Pour les autres, aux patrimoines plus contenus, ce n’est plus accessible et il leur reste pour être conseillés… leur banque.
L’enfer est pavé de bonnes intentions…
Vous m’interrogez mais pour ma part je ne vois aucun mal, aucune malhonnêteté à opérer comme vous souhaitez le faire. Vous recommandez des partenaires que vous avez sélectionnés, c’est objectivement plus qualitatif en comparaison des publicités google.
En revanche, vous l’aurez compris, ce qui m’apparaît manquer d’éthique et de transparence est, compte tenu de l’esprit des textes et règlementations dont relève la profession, le fait de prôner une stricte indépendance qui n’en est plus une et de ne pas clairement, précisément, indiquer les avantages que vous percevrez desdits partenaires directement dans votre offre.
Bonjour,
Quels sont les honoraires demandés par votre courtier ?
De la nouvelle (grosse) concurrence à l’horizon :
Meilleurtaux propose une offre B2B aux agents immobiliers
Meilleurtaux se lance dans le B2B. Le courtier en crédit immobilier offre désormais ses outils aux professionnels de l’immobilier via sa nouvelle marque Meilleurtaux Business Solution. Le groupe, initialement centré sur l’activité de courtage immobilier et de comparateur, s’est progressivement transformé ces dernières années pour devenir un agrégateur de produits et de services financiers.
Quelques mois seulement après son rachat par le fonds technologique Silver Lake, le courtier immobilier Meilleurtaux, spécialisé dans la clientèle de particuliers, se lance dans le B2B. Le 23 février dernier, le groupe a dévoilé la création de la marque Meilleurtaux Business Solution avec laquelle il entend partir à la conquête du marché des professionnels. Cette nouvelle marque va ainsi permettre au groupe de mettre à disposition de ses nouveaux partenaires la quasi-totalité des outils digitaux qu’il a développé ces dernières années pour sa clientèle de particuliers. Le patron du groupe, Guillaume Autier, a expliqué dans le sillage de l’annonce que cette activité B2B, loin d’être marginale, avait pour vocation à devenir « la seconde jambe » du groupe, indiquant que, si le groupe avait déjà une activité B2B dans l’assurance emprunteur avec Assurea (racheté en 2017), il s’agissait d’une accélération très nette qui serait un important « levier de croissance » pour Meilleurtaux.
Quels services ?
La gamme de services mise à disposition des partenaires de Meilleurtaux ira du parcours de préparation d’un projet aux outils de simulation visant à optimiser le financement du client. Les clients B2B auront, entre autres, accès aux conventions et partenariats bancaires de Meilleurtaux ou encore à la base de données qui leur permettra de vérifier la capacité de financement du client. Les professionnels de l’immobilier pourront également utiliser les outils numériques de traitement des dossiers clients qui leur permettra notamment de déposer les différentes pièces qui composent les dossiers en ligne. Le patron de Meilleurtaux indique que cette boîte à outils est devenue indispensable depuis les recommandations du Haut Conseil de stabilité financière, qui a notamment restreint les conditions d’octroi de crédit des particuliers. L’accès à ces données et le traitement digital des dossiers permet de maximiser le temps des professionnels et des clients.
Un modèle allemand
Le groupe indique que cette évolution lui a été directement inspirée par celle d’Interhyp, son concurrent allemand. La marque a en effet lancé une offre similaire il y a plusieurs années. Il aura fallu 5 ans pour que la solution B2B dénommée « Pro Hyp » représente la moitié de l’activité totale du groupe, un développement fulgurant qui inspire le patron du groupe Meilleurtaux. D’un point de vue quantitatif, le courtier en immobilier s’attend à traiter « quelques centaines » de dossiers en B2B cette année et « plusieurs milliers dès l’année prochaine ». Et la mayonnaise semble prendre : Meilleurtaux affirme avoir déjà vendu sa solution à plusieurs professionnels du secteur de l’immobilier dont un promoteur basé à Nantes et le cabinet de conseil en gestion de patrimoine (CGP) Capitol. Le groupe devrait également annoncer un partenariat avec le groupe d’agents immobiliers Laforêt dans les prochains mois. Au cœur du premier confinement, en 2020, Meilleurtaux et Laforêt se sont illustrés avec une première offre conjointe proactive et efficace visant à faciliter les achats immobiliers en temps de pandémie.
Je trouve moi aussi certains commentaires inappropriés car Guillaume fait son job de nous éclairer avec suffisamment de recul et de hauteur. C’est à chacun, en fonction de son propre positionnement, de ses objectifs et des enjeux in fines qui guident sa stratégie patrimoniale de prendre en compte ou PAS le point de vue de Guillaume.
Les commentaires désagréables n’apportent rien à personne et ne sont pas constructives.