Le régime fiscal de la location meublée est définitivement d'une complexité rare. Un nouvel exemple avec la mauvaise surprise qui attend les exploitants de location meublée considérés comme loueur en meublé professionnel (LMP) lors de la revente de l'immeuble.
Deux impôts sur la plus-values devront alors être payés : Une première plus-value immobilière des particuliers pour la période couvrant l'exploitation en revenu foncier et une plus-value professionnelle pour la période en LMP.
Depuis 2018 et la suppression du critère d'inscriptio...
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