La divulgation récente par la Direction Générale des Impôts des 16 000 dossiers déjà déposés par des repentis fiscaux est l’occasion de réfléchir sur l’opportunité de régulariser, ses avoirs financiers éventuels détenus à l’étranger.
Les circulaires dites Cazeneuve1 et 2, ouvrent une fenêtre pour réintégrer dans le circuit normal des actifs souvent à rendement limité, compte-tenu de l’opacité qui les entoure. Elles offrent donc l’opportunité de dynamiser à nouveau la gestion d’un patrimoine tout en sécurisant sa transmission. Les enfants qui hériteront d’actifs non déclarés à l’étranger n’en profiteront pas vraiment.
Le choix de s’engager dans une procédure de régularisation doit être examiné en fonction des avantages escomptés et du coût financier de l’opération.
Les situations les plus couramment rencontrées sont les suivantes :
Des héritiers de biens situés à l’étranger,
Des personnes qui ont travaillé à l’étranger et y ont maintenu leurs actifs à leur retour en France,
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