Quelle tristesse. Il y a 15 ans, lorsque je finalisais mes études de master 2 gestion de patrimoine à l'université de Clermont-Ferrand, le métier de conseiller en gestion de patrimoine était une belle ambition, celle de devenir un métier de conseil global au service des projets de vie des épargnants.
En 2005, on parlait encore de créer la profession réglementée de conseil en gestion de patrimoine à l'instar des avocats, expert-comptable ou autre notaire.
A l'époque, l'ambition ultime était le conseil rémunéré par les honoraires et l'abandon d...
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