Voici une question qui préoccupe nombre de parents soucieux du financement de leurs vieux jours ou nombre d'enfants qui aimeraient bien hériter de leurs parents au moment où ils en ont le plus besoin sans avoir besoin d'attendre le décès du dernier.
Ce sont là deux points de vues qu'il convient de comprendre, sans jugement :
Au décès du premier conjoint, le survivant est souvient inquiet pour le financement de sa fin de vie. Aura t'il suffisamment d'argent pour financer une éventuelle dépendance ou maison de retraite ? Il lui semble alors natu...
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